Cette brève note présente l’état des connaissances universitaires sur l’adoption coutumière anishinaabe (algonquine) au Québec. Notre démarche vise à encourager la recherche sur le sujet dans le contexte d’un projet de réforme du régime de l’adoption au Québec comportant la reconnaissance de l’adoption coutumière autochtone. Des communautés autochtones du Québec ont déjà entrepris de documenter leurs pratiques actuelles d’ « adoption » ou, plus exactement, de prise en charge et de protection d’enfants par des personnes autres que les parents d’origine.[1] Ce travail espère ouvrir la marche pour les Anishinaabe qui désirent jouir de cette même possibilité de répertorier l’état de leurs règles et de leurs pratiques en vue d’une éventuelle interaction féconde avec le système juridique québécois.
La troisième conférence Pasifika Law and Culture au eu lieu à Victoria University of Wellington en Nouvelle-Zélane du 4 au 6 juillet 2016.
À l’initiative de Mme Olivia Gandzion, jeune chercheure au sein du groupe bordelais, l’équipe de Bordeaux, a organisé un atelier dans le cadre de la Semaine doctorale intensive organisée du 13 au 17 juin 2016 par leprogramme doctoral droit de Sciences Po Paris et l’École doctorale Droit et Sciences Politique de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense.
Professeure Chuma Himonga la cochercheure qui dirige l'équipe de l’Afrique du Sud impliquée dans le projet de partenariat du CRSH, avec sa collègue professeure Elena More ont publié un livre intitulé La réforme du mariage coutumier, le divorce et les successions en Afrique du Sud : Vivre le droit coutumier et les réalités sociales.
En avril dernier, le professeur François Féral, collaborateur au projet Legitimus, a participé à un échange avec plusieurs jeunes Kanaks à propos du pluralisme juridique et plus spécifiquement de la situation en Nouvelle-Calédonie.