La jeune chercheure Fatima Osman, membre du Groupe de recherche de la professeure Chuma Himonga, a accepté de nous dire quelques mots sur son projet de recherche et son travail de terrain. Il s'agit de la seconde entrevue réalisée dans le cadre de la Seconde réunion d'équipe du mois dernier à être publiée sur Legitimus.ca.
Le Groupe d'intégration a présenté, lors de la deuxième réunion d'équipe d'octobre dernier qui se tenait à Montréal, ses premiers rapports. Les membres du comité se sont consacrés à un important travail d'analyse des données recueillies par les différents groupes de recherche qui participent au projet Legitimus. Au nombre de trois, ces rapports portent sur la Justice, la Famille et le Foncier.
La deuxième réunion d'équipe du Projet Legitimus, qui se tenait les 19, 20 et 21 octobre a été un franc succès. Dans les jours qui suivent, vous verrez apparaître sur Legitimus.ca plusieurs entrevues et autres contenus pédagogiques captés lors de l'événement. L'équipe web du projet vous offre en attendant la publication de ces contenus un aperçu des moments marquants de la rencontre, qui a été riche en réfléxions et en idées pour tous nos collaborateurs.
La deuxième réunion d'équipe du Projet Legitimus aura lieu en début de semaine prochaine (les 19,20 et 21 octobre) à Montréal. La réunion vise à atteindre quatre objectifs : faire le point sur la recherche et les résultats obtenus à mi-parcours (1), prendre du recul et réfléchir aux défis pratiques, culturels et méthodologiques ihnérents à la recherche sur les cultures juridiques autochtones avec les autochtones (2), valoriser les travaux des jeunes chercheurs (3) ainsi que préparer les étapes suivantes des travaux (4).
Elle permettra donc de faire l'état des travaux de recherche des différents groupes, en plus d'offrir l'opportunité à tous les chercheurs et jeunes chercheurs présents d'assister à une table ronde, à un atelier méthodologique, et à des conférences. La réunion aura lieu en parallèle avec le Colloque des jeunes chercheurs le troisième jour.
Les connaissances traditionnelles en lien avec l’environnement, détenues par les communautés autochtones, constituent un patrimoine immatériel à la convergence de multiples intérêts. Ces savoirs représentent d’abord un patrimoine d’une importance considérable pour les communautés autochtones dans le cadre de l’expression de leur identité et de la préservation de leurs modèles culturels. Ils sont aussi bien souvent indispensables à la survie matérielle des communautés. Ils intéressent également les scientifiques en raison des possibilités de valorisation notamment dans les secteurs cosmétiques et pharmacologiques.